7/19/2010

La milice encourage la population à manifester contre le contingent français de la Finul.

«La main qui touchera à l'armement de la résistance sera coupée.» Sur l'affiche, l'homme fort du Liban-Sud, Hassan Nasrallah, chef du Hezbollah («le Parti de Dieu»), lance cet avertissement dans la langue de Molière. Pour que le message soit bien compris des soldats français de la Force des Nations unies au Liban (Finul), qui patrouillent à Kirbet Slem, bourgade encaissée dans la vallée du wadi al-Ahjir. Une voie de pénétration privilégiée par les miliciens chiites pour se rapprocher de la frontière avec Israël.<<<<
-http://www.lefigaro.fr/international/2010/07/19/01003-20100719ARTFIG00227-le-hezbollah-seme-un-vent-antifrancais-au-liban-sud.php

Etre pris au piège de la faiblesse. D'une Finul réduite à compter les coups entre Israël et le Hezbollah, comme avant la guerre de 2006. Voilà ce que la France, et ses 1 546 hommes sur le terrain, redoute par-dessus tout. Mais, dans son insistance pour que la résolution 1701 de l'ONU soit appliquée - quitte à heurter les sensibilités de la population -, Paris se retrouve isolé, au moment où le Conseil de sécurité doit reconduire, à la mi-août, le mandat de la Finul. «Nous ne voulons pas que les Français prennent en otage la Finul pour régler des problèmes face au Hezbollah ou à l'Iran», lâche un diplomate d'un pays européen contributeur, qui soupçonne Paris de vouloir durcir le ton contre le Hezbollah - et son tuteur iranien accusé de fabriquer la bombe<<<
http://www.lefigaro.fr/international/2010/07/18/01003-20100718ARTFIG00212-les-capitales-europeennes-divisees-sur-la-mission-de-leurs-casques-bleus.php

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